Histoire de l'Afghanistan

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En 1953, un cousin de Zahir shah, Muhammad Daoud fut nommé le premier ministre. Pendant son terme (1963-1963), Daoud réalisa plusieurs reformes sociales telles que faire optionnel le port d'une voile pour les femmes. Il fut en relation chaude avec l'URSS mais froide avec l'USA.

A cause de sa position dure sur le problème frontalier avec le Pakistan, Afghanistan faillit entrer dans une guerre avec son voisin. Zahir shah fut oblige de demander la démission de son premier ministre Daoud en 1963 et il fut remplacé par Mohammad Yusof.

Grâce à la constitution promulguée en 1964 qui garantit une élection libre et une liberté d'expression, Afghanistan devint un pays démocratique mais sur le campus universitaire, un combat impitoyables entre les étudiants pro communistes et pro islam apparurent.

En 1965, pro Moscou communiste parti, PDPA (People's Democratic Party of Afghanistan) fut fondé par Babrak Karmal et Muhammad Taraki mais sitôt scindé en 2 factions, Parcham (drapeau) dirigé par Taraki et Khalq (peuple) dirigé par Karmal.

Mécontent avec sa retraite forcée, l'ex premier ministre, Daoud fomenta un coup d'état avec une complicité des officiers communistes en juillet 1973 pendant une visite du roi en Europe. La république d'Afghanistan fut proclamée et Daoud devint le président. Beaucoup de communistes entrèrent dans son cabinet.

Daoud continua a oeuvrer la modernisation de l'Afghanistan et interdit les partis islamistes qui furent farouchement contre. Beaucoup de dirigeants islamistes tels que Burhanuddin Rabbani et Ahmad Shah Massoud de Jamiat-i-Islami s'enfuirent à Peshawar au Pakistan pour organiser une résistance.

Après l'élimination des partis islamiques par Daoud, les communistes commencèrent a s'inquiéter a leur tour. L'assassinat de Mir Akbar Khyber, une importante figure de PDPA a provoqué une révolte populaire en avril 1978 (Saur signifie "avril" en afghan) et les militaires communistes recrutés par Hafizullah Amin encerclèrent le palais présidentiel. Daoud fut tué avec son entourage et la république démocratique d'Afghanistan fur proclame.

Au début, les 2 factions, Khalq et Parcham qui eurent été réconciliées quelques années plutôt, furent présents dans le gouvernement mais bientôt le patron de la Khalq faction et le président du conseil révolutionnaire, Taraki purgea tous les membres de la faction Parcham tels que Karmal du cabinet et de l'organe du parti.

Les politiques des communistes telles que l'émancipation des femmes et la reforme agraire qui ignorent complètement les tradition rurales afghanes, provoquèrent plusieurs révoltes populaires et chaque fois elles furent matées avec des bains de sang. Pendant cette période de confusion, en février 1979, l'ambassadeur des Etats-Unis, Adolph Dubs, fut assassine par une personne inconnue.

Cette anarchie provoqua une dispute entre les supporteurs de Taraki et son premier ministre, Amin. Alarmé par un plan de Taraki pour l'éliminer, Amin contre attaqua en juillet 1979, par une fusillade au palais présidentiel. Amin devint alors le président d'Afghanistan et Taraki fut secrètement exécuté.

L'élimination de Taraki sans son consentement vache Brezhnev et il ordonna d'envahir l'Afghanistan avec 80,000 hommes en décembre 1979, en prétextant to sauver la révolution communiste afghane. Amin fut assassine et le chef de faction Parcham, Karmal fut nomme le président par l'URSS en retour de son exil.

Malgré une aide apportée par les soviétiques, la résistance Moudjahidin devint de plus en plus fort car ils commencèrent a recevoir des matériels sophistiqués tels que des missiles portables sol-air, stingers des Etats-Unis tandis que le Pakistan offrit des terrains d'entraînement pour des combattants islamiques et la Arabie saoudite, la monnaie. Le Jihad (La guerre sainte) fut lancée.

Mécontent avec le résultat de Karmel, l'URSS le renvoya et remplaça en mai 1986 par le chef de la police secrète afghane, Dr Najibullah. Il fit revenir le nom de son pays a la république d'Afghanistan pour montrer son désir de négocier avec les Moudjahidin mais le combat continua.

Devant une perte immense (13,000 soldats tués), Gorbachev ordonna un retrait de la troupe soviétique de l'Afghanistan en mai 1988 et Najibullah essaya de former un gouvernement de coalition via l'accord de Genève signe en avril mais son effort resta complètement ignore.

En avril 1992, Kaboul tomba aux mains de Moudjahidin et la république islamique d'Afghanistan fut proclamée. Rabbani devint son président tandis que Gulbuddin Hekmatyar de Hezb-e-Islami, en refusant le poste du premier ministre entra en conflit contre Rabbani.

Bientôt, chaque faction de Moudjahidin commença à battre l'une contre l'autre et beaucoup d'entre eux devinrent simples bandits: le droit de passage arbitraire, contre bandes, enlèvement des enfants etc. Apparus à la fin de l'année 1994 à Kanadahar, les Talibans guides par un professeur de l'Islam, Mollah Mohammad Omar, captura avec succès la plupart des territoires afghans grâce à un soutien de la population locale qui eut senti assez avec des Moudjahidin.

En septembre 1996, Kaboul tomba aux mains de Taliban. Alarmés, la plupart des Moudjahidin qui eut combattu précédemment l'un contre l'autre tels Abdul Dostam de Jumbish-i-Milli, decida d'unifier sous la bannière du président Rabbani contre les Taliban et forma ce qu'on appelle "alliance du nord".

Après une attaque survenue sur World Trade Center en septembre 2001, les Américains ont formé une coalition large contre les Taliban qui pourraient cacher Oussama ben Laden et demandé au Pakistan d'arrêter un soutien du régime Taliban. Devant un refus de Mollah Omar de livrer Ben Laden, les Américains ont entre en guerre et commence à bombarder leur installations militaires.

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